Le Père Romano Zago, au travers de ses travaux et de son livre « Du cancer on peut guérir », a largement contribué à faire (re)connaître les vertus thérapeutiques d’une plante utilisée depuis l’Antiquité : l’aloe arborescens.
L’aloe arborescens ou aloes arborescens (genre Aloe) est une plante cousine de l’aloe vera, mais elle reste plus rare. D’une part, parce que sa croissance est beaucoup plus lente, d’autre part parce que la récolte ne peut se faire qu’à partir de la 3ème année de culture. C’est à partir de cet âge que la plante possède l’ensemble des vitamines, acides aminés, oligo-éléments, enzymes et minéraux indispensables à l’organisme.
La concentration en aloïne (substance laxative) dans l’aloe arborescens est beaucoup plus faible que dans l’aloe vera. La feuille peut donc être utilisée et consommée dans son intégralité.
Originaire de l’Afrique australe, l’aloe arborescens a été importé dans de nombreux pays tropicaux, subtropicaux ou tempérés chauds, pour ses qualités horticoles et ses vertus médicinales. L’extraordinaire richesse naturelle concentrée dans cette plante trouve son origine dans l’énergie qu’elle a déployée pour survivre aux maladies comme aux sécheresses.
La plante de l’immortalité
L’aloès ou « Plante de l’immortalité » pour les grands prêtres de l’ancienne Egypte, détient des qualités médicinales prodigieuses connues des hommes depuis au moins l’Antiquité. Les Grecs au IVème siècle avant J.-C. utilisaient l’aloès pour pallier des traitements de différentes affections. Les qualités apaisantes de son gel sur les coupures et brûlures en faisaient un produit de première nécessité.
Curieusement, l’aloe arborescens a connu plus d’usages médicinaux en Asie et dans la région méditerranéenne que dans son aire d’origine. Au Japon, les feuilles sont traditionnellement consommées pour lutter contre la constipation et comme purgatif. Le gel est utilisé pour les soins de la peau et est appliqué sur les plaies. En 1820, la pharmacopée officielle des États-Unis mentionne les propriétés laxatives de l’aloès, qui fait partie de diverses préparations pharmaceutiques.
En 1935, l’emploi topique du gel d’aloes fait une entrée remarquée dans le monde des produits cosmétiques et dermatologiques lorsqu’un groupe de médecins l’utilisent pour traiter des brûlures causées par les rayons X. Le Brésil et la Chine l’utilisent pour ses facultés revitalisantes et pour garantir une meilleure santé.
La renommée de la plante se renforce encore quand, dans les années 1990, le père Romano Zago, ressuscite une recette ancienne consistant à broyer des feuilles d’aloe arborescens avec du miel et de l’alcool.
Une recette ancestrale perfectionnée
Prêtre franciscain d’origine italienne, le Père Zago est né au Brésil en 1932. Il bénéficie des bienfaits de l’aloe arborescens dès son enfance, sa mère l’utilisant notamment pour soulager les problèmes gastriques. Mais ce n’est que bien plus tard que le Père Zago mesurera tous les effets positifs de l’aloe. D’abord en Israël, où il séjourne de 1991 à 1995, puis, de retour au Brésil, auprès de la population du bidonville de Rio Grande do Sul qui n’a pas accès aux médicaments.
Le Père Zago, d’abord sceptique, va rapidement expérimenter une recette traditionnelle auprès de malades. Il constate les effets bienfaiteurs de l’absorption de jus d’aloe et perfectionne peu à peu le dosage des différentes substances (aloe arborescens mixé, miel et un peu d’alcool).
Les études de Père Romano Zago sont publiés dans le magazine « Terre Sainte », et dans d’autres publications spécialisées. C’est le début de la notoriété pour le frère franciscain et son élixir de longue vie. En 1995, le Père Romano Zago commence à se dédier entièrement à son expérimentation auprès de personnes atteintes de cancer.
Le livre du Père Zago, « Du cancer on peut guérir » retrace les nombreux cas où l’absorption de son mélange a apporté un mieux-être et amélioré la santé de ses « patients » qui avaient perdu tout espoir. Souhaitant que chacun puisse avoir accès à sa formule, il l’a partagée dans son ouvrage : 500g de miel (bio), 6 cuillerées à soupe d’alcool (eau-de-vie, cognac, whisky…) 350 à 400g de feuilles d’aloe arborescens.
Ce traitement naturel n’a pas vocation à remplacer celui de votre médecin. Mais comme il n’existe pas de contre-indication connue, la recette peut très bien être associée aux traitements conventionnels.
L’aloes arborescens est désormais l’une des plantes les plus importantes dans les études anti-cancer. Ces études* semblent suggérer que la plante pourrait être associée avec succès à une chimiothérapie pour augmenter son efficacité à la fois en termes de régression de la maladie et en espérance de vie. Sa propriété antinéoplasique est due à au moins trois mécanismes différents basés sur des effets antiprolifératifs, immuno- stimulateurs et antioxydants. La réputation de cette plante dans l’histoire de la thérapeutique ne pouvait évidemment pas être sans fondement !
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Astuce Santé :
Pour les cas les plus sévères de constipation chronique ou passagère, le jus d’aloe arborescens, agissant de façon positive sur le transit, peut être associé au psyllium blond dont les mucilages nettoient la paroi intestinale et régulent la teneur en eau des selles :
Voici notre astuce anti-constipation, à prendre avant chaque repas : verser 2 cuillères à café de psyllium blond dans un verre, rajouter 1 à 2 cuillères à soupe de jus d’aloe arborescens bio, remplir ensuite le verre avec de l’eau, remuer et boire immédiatement. Le goût sucré de l’aloe arborescens permet d’adoucir cette préparation.
*étude de P.Lissoni, F.Rovelli- Milan-2009
Contre indiqué pour ceux qui ont un traitement anticoagulant
Bonjour ! est-ce contre indiqué avec un traitement anti-coagulant ?
Merci de votre réponse.
qu’elles sont les contre-indication avec d’autres traitements ?
Il n’y en a pas.
Extrait du livre de Romano Zago : « Si une personne suit un traitement traditionnel prescrit par son médecin, elle peut bien sûr aussi prendre ce produit [la recette du père Zago]. Au contraire, j’ai le témoignage de patients qui, ayant pris une dose d’aloès avant de se soumettre à la chimiothérapie, en ont mieux supporté les effets désagréables : perte des cheveux (parfois même, des dents), fièvre, vomissements, diarrhée, nausée. Des personnes n’ont même pas perdu de cheveux. D’autres ont eu seulement un peu de nausée pendant quelques heures, mais sans fièvre. D’autres encore […] »
Le père Zago poursuit en disant que les traitements homéopathiques ne sont pas non plus contre-indiqués avec l’aloès. Il conseille d’ailleurs de n’interrompre aucun traitement prescrit par le médecin.
Bonjour pouvez vous me dire s v p combien de temps il faut laisser macérer merci
Bonjour et merci de votre confiance,
Voici les infos que nous avons pu trouver pour la réalisation de la recette à base d’aloe arborescens du Père Romano Zago. Il n’y a pas de macération à priori ; une fois mixée, la recette du Père Zago est prête à l’emploi.
1. Essuyez simplement les feuilles d’aloe avec un linge humidifié d’alcool alimentaire.
2. A l’aide d’un couteau économe, supprimez l’extrémité des petites aiguilles situées sur le bord
des feuilles.
3. Coupez en lamelle les feuilles d’aloe arborescens directement dans le bol d’un mixer.
4. Ajoutez le miel et l’alcool.
5. Broyez par intermittence de 5 à 10 secondes, jusqu’à réaliser un jus le plus fin possible. (Il peut rester de petits morceaux de la taille de grain de semoule, ce n’est pas gênant).
6. Versez le dans un flacon opaque. Ce jus est à conserver impérativement au réfrigérateur.